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Après plusieurs semaines d’attente stressante et de manifestations fatigantes les buralistes peuvent enfin de nouveau respirer et se reposer… du moins pour un temps. La Française des Jeux a abandonné l’idée de vendre ses jeux dans les grandes et moyennes surfaces, ce qui risquait de faire tomber les chiffres d’affaires des buralistes. Le président de la Confédération des buralistes, Pascal Montredon, a déclaré qu’ils étaient soulagés et que c’était exactement ce qu’ils demandaient.
Si la FDJ a finalement décidé de ne pas renouveler le contrat des quelques 130 points de vente c’est surtout dû au fait que ses espoirs n’ont pas été remplis et les 10 millions de clients des grandes et moyennes surfaces ne se sont pas jetés sur l’occasion de miser au supermarché.
Les buralistes se font encore des soucis pour la libéralisation des jeux en ligne, ou plutôt pour la concurrence des sites de jeux en ligne, craignant que ceux-ci aient une mauvaise influence sur leurs chiffres d’affaires. Il ne faut pas oublier que ce chiffre a déjà baissé en 2008 a cause de la hausse des prix du tabac et de l’application de la loi anti-fumeur qui ont fait diminuer d’un tiers leurs ventes de cigarettes.
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