Loto-Québec, la société d’état du Québec qui offre tous types de jeux d’argent et de hasard via plusieurs établissements de jeux, des services d’hébergements et des restaurants, se félicite des beaux revenus de cette année, surtout après la longue période de plusieurs années pendant laquelle il y a eu une grande baisse de fréquentation autant dans les casinos que dans les hôtels et les restaurants.
Par exemple pendant 4 ans, le nombre de joueurs au Casino de Montréal a baissé d’année en année, ce n’est que pour ces derniers mois que le nombre a augmenté. Il faut cependant rappeler que pendant ces années maigres cet établissement a été rénové et modernisé et donc n’a pas pu offrir à ses joueurs le même nombre de jeux qu’il propose en général.
Une des causes probables de ce renouvellement d’intérêt de la part des joueurs est le fait que diverses initiatives ont été mises en place dans ce but, telles que des festivals, des soirées thématiques, des spectacles et autres loisirs en plus des jeux. Il a été remarqué que les samedis sont les jours les plus attendus, ainsi que les veilles ou lendemains de fêtes. L’été qui arrive à son terme a été une belle réussite et pourrait bien avoir réussi à renverser la tendance et faire repartir les revenus d’un bon pied. Rien que pour l’été le casino a enregistré l’arrivée de quelques 1.8% de joueurs en plus, ce qui signifie une hausse de revenus de 4.5% par rapport à l’année passée. En comparant ces derniers mois avec les mêmes que l’année passée on peut constater quelques 370% d’augmentation pour les dollars changés sur place.
L’activité des casinos dépend bien évidemment aussi du tourisme et cet été le nombre de visiteurs a été notamment plus élevé que pour plusieurs des années précédentes, un tourisme qui vient aussi surtout des Etats-Unis pendant les vacances.
Loto-Québec espère bien que cette tendance va continuer dans le même sens pour les prochaines années, cela ne serait que juste après les années de déclin, cependant il va falloir du temps pour arriver aux mêmes résultats qu’avant 2010.
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